Le "çeyiz sandığı" ou coffre à trousseau fait partie en Anatolie des traditions incontournables
et si jolies.

Le coffre est l'objet, le meuble central, le meuble à secrets que la mariée apporte de chez elle dans sa nouvelle demeure.
İl peut être nacré
La coutume veut que le coffre soit acheté dès le jour de la naissance de la fille.
Dès son enfance ou adolescence, la jeune fille commence à remplir le coffre de broderies, crochets, dentelles et linge de maison qu'elle aura confectionné ou que ses tantes, mères et cousines auront brodé pour elle.

Le coffre est l'objet, le meuble central, le meuble à secrets que la mariée apporte de chez elle dans sa nouvelle demeure.
İl peut être nacréLa coutume veut que le coffre soit acheté dès le jour de la naissance de la fille.
Dès son enfance ou adolescence, la jeune fille commence à remplir le coffre de broderies, crochets, dentelles et linge de maison qu'elle aura confectionné ou que ses tantes, mères et cousines auront brodé pour elle.

Le coffre de la mariée est entièrement privé, personne d'autre n'a le droit de l'ouvrir .
Mais la jeumne femme, à chaque fois qu'elle recevra ses amies, ou les femmes du voisinage se fera un plaisir d'ouvrir le coffre magique et de présenter un à un ouvrages délicats et variés.
Vantant ainsi son savoir faire et cherchant à entendre le compliment
" On parmakta , on marifet " - " dix doigts , dix talents " .

Avant que la jeune fille parte, les garçons de la maisonnée vont jouer à un jeu..İl s'agit de s'asseoir sur le coffre pour l'empêcher de partir et de réclamer le "sandık bahşişi", le pourboire du coffre..

Cette coutume du coffre du trousseau est encore très fréquente , même dans les villes où en revanche il s'agira de linge de maison tout fait.
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